Le rap – ultra, hardcore ou gansta – alimente-t-il le ressentiment d’une partie des jeunes habitants des cités contre la police ? C’est de cette question dont ont débattu mardi au Bondy Blog, Mohamed Douhane, commandant de police, membre du syndicat Synergie Officiers, et Almamy Kanouté, éducateur de rue dans le 15e arrondissement de Paris, élu municipal à Fresnes (94) et fin connaisseur de l’univers « rap ». Les rappeurs et leurs excès mis sur la selette, mais les agissements des forces de l’ordre également. « Faut qu’on se parle », tel est le nom que nous avons choisi de donner à ce débat filmé et aux prochains qui suivront à un rythme mensuel. « Faut qu’on se parle », parce que, dans une France pleine de tensions – politiques, sociales ou identitaires –, il est urgent que ceux qui s’invectivent à distance parlent à la même table. Et maintenant, place aux vidéos (cliquez ci-dessous sur « Lire la suite »).

« Je plaide non coupable »


Faut qu’on se parle (première partie)
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Une erreur et une description incomplète se sont « glissées » dans les légendes au début de la première partie : Almamy Kanouté est « élu municipal », sans – e – à municipal. Mohamed Douhane est membre du syndicat de police « Synergie Officiers » et non membre de « Synergie ».

« Cette majorité silencieuse qui baisse la tête devant les caïds »


Faut qu’on se parle (deuxième partie)
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« Chez les rappeurs, il y a aussi du racisme anti-Blancs »


Faut qu’on se parle (troisième et dernière partie)
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Antoine Menusier

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