Derniers articles
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Marwan Mohammed : « Le concept de communautarisme nie aux minorités la possibilité de s’affirmer et d’agir dans l’espace public »
#REDIFF Marwan Mohammed est sociologue au CNRS et mène des recherches sur les inégalités sociales, la criminalité et le racisme. Avec son confrère Julien Talpin, ils publient « Communautarisme ? ». A partir d’enquêtes historiques et sociologiques, les deux chercheurs questionnent ce concept qu’ils voient comme une insulte politique utilisée par les élites pour disqualifier les demandes et revendications des groupes minoritaires. Entretien
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Marwan Mohammed : « Le concept de communautarisme nie aux minorités la possibilité de s’affirmer et d’agir dans l’espace public »
Marwan Mohammed est sociologue au CNRS et mène des recherches sur les inégalités sociales, la criminalité et le racisme. Avec son confrère Julien Talpin, ils publient « Communautarisme ? ». A partir d’enquêtes historiques et sociologiques, les deux chercheurs questionnent ce concept qu’ils voient comme une insulte politique utilisée par les élites pour disqualifier les demandes et revendications des groupes minoritaires. Entretien
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Les petits-déjeuners gratuits dans les écoles prioritaires : une mesure d’utilité publique
Jeudi 13 septembre, Emmanuel Macron dévoilait son « plan pauvreté », une série de mesures censées lutter contre la pauvreté. À cette occasion, le président de la République a annoncé la mise en place d’un fonds pour financer des petit-déjeuners gratuits dans les écoles prioritaires. La démarche peut sembler dérisoire. En réalité, elle est d'utilité publique et a déja été éprouvée. Analyse.
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Et si, M. Blanquer, on construisait l’autorité à l’école sur des projets d’avenir plutôt que sur le passé?
Le ministre de l’Education Nationale, Jean-Michel Blanquer, s’est montré favorable aux dictées quotidiennes, au retour de l’uniforme et à l’interdiction des téléphones portables. Des mesures que l’extrême droite qualifie de "victoire idéologique". L’autorité à l’école, une priorité pour Jean-Michel Blanquer mais a-t-elle réellement disparu ?
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Non, Mounir Mahjoubi, à l’école, chacun ne fait pas « le chemin qu’il veut » !
Le 2 janvier dernier, Mounir Mahjoubi, le secrétaire d’Etat chargé du numérique, invité sur LCI, a assuré, en écho à son parcours, que dès lors que les enfants vont à l'école, ils peuvent faire le chemin qu'ils souhaitent. Un discours excessivement optimiste qui fait fi de toutes les études montrant les criantes inégalités scolaires en France.
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« On veut ouvertement nous chasser de Noailles vers les quartiers nord de Marseille »
#BESTOF Noailles, riche de ses commerces et de sa population cosmopolite, est un quartier mythique de Marseille. En 30 ans, son visage a bien changé en raison de la politique de gentrification décidée par les pouvoirs publics et a peut-être perdu un peu de son âme. Le Bondy Blog est allé à la rencontre de ceux qui font la vie de ce bout de la cité phocéenne. Reportage.
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Quelle école pour demain avec le nouveau ministre de l’Education nationale ?
#BESTOF Le 17 mai, Jean-Michel Blanquer a été nommé ministre de l'Education nationale. Celui qui fut directeur général de l'enseignement scolaire sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy a publié, en octobre 2016 "L'école de demain", un livre regroupant ses propositions pour l’éducation nationale dont il pourrait s'inspirer pour la politique du nouveau gouvernement. Notre analyse.
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Quelle école pour demain avec le nouveau ministre de l’Education nationale ?
Le 17 mai, Jean-Michel Blanquer a été nommé ministre de l'Education nationale et a immédiatement pris ses fonctions rue de Grenelle. Celui qui fut directeur général de l'enseignement scolaire sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy a publié, en octobre 2016 "L'école de demain", un livre regroupant ses propositions pour l’éducation nationale dont il pourrait s'inspirer pour la politique du nouveau gouvernement.
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Marine Le Pen est un danger absolu pour l’école républicaine
[#PRÉSIDENTIELLE2017] Depuis l'annonce des résultats du premier tour, c'est un combat acharné qui s'est engagé entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Deux petites semaines ne permettent pas de régler ni même d'aborder les divergences profondes entre le libéralisme de l'un et le nationalisme de l'autre, alors la bataille se déroule plutôt sur le terrain de la communication à coups de selfies et de commémorations opportunistes. Au milieu de ce vacarme, on oublie une chose fondamentale : l’École de la République joue sa survie tant les ambitions de Marine Le Pen lui seraient néfastes.