Quelques difficultés à dormir, mais plus le courage de décrire ma soirée à la mairie. Je le ferai demain. En attendant, je vous livre un extrait de l' »Histoire des gens de Bondy », découverte par mon prédécesseur Michel Audétat. Page 79: Etat de 1718. Article premier – Cette paroisse se nomme Bondies; c’est un village. […] Art. 9 – Le nombre de maisons est de 57. Art. 10. – Le nombre de familles est de 56. […] Art. 18. – Le nombre de taillables est de 56; savoir 9 laboureurs, 6 marchands, 7 artisans, 32 journaliers et 2 sans industrie. Reste-t-il encore des laboureurs à Bondy? Ce qui est qui est certain, c’est qu’il y a désormais bien plus que 2 sans emploi. Demain, j’irai faire un tour à la mosquée. Par Titus Plattner

Bondies et ses deux sans industrie
Articles liés
-
Bac en mars : « C’est encore les élèves défavorisés qui vont en pâtir »
Ces derniers jours, les appels à la grève de surveillance du bac les 20 et 21 mars se multiplient. L’application de la réforme Blanquer avance les épreuves de spécialités de trois mois. Une mesure décriée, notamment car elle aggrave encore les inégalités scolaires. En Seine-Saint-Denis, les professeurs se mobilisent.
-
Réforme des retraites : À Noisy-le-Grand, « il y a un ras-le-bol général » contre le gouvernement
Le gouvernement a choisi de passer par le 49.3 pour faire passer sa réforme des retraites. Une réforme impopulaire et une méthode brutale. À Noisy-le-Grand, le mécontentement est palpable, même si la mobilisation dans les cortèges n’est pas toujours possible pour les Noiséens. Reportage.
-
Clinton Chalokwu : de la fuite de la guerre en Ukraine à la menace d’expulsion en France
Clinton Chalokwu est un Nigérian de 18 ans, footballeur et talentueux. Installé dans la Manche (50), il a reçu une OQTF, alors qu’il s’apprêtait à démarrer une formation d’animateur sportif. Avant ça, il devait signer en professionnel en Ukraine et a dû quitter le pays avec la guerre sans bénéficier du statut de réfugié.