Nous avons choisi de publier une lettre de commentateur qui traduit bien les nombreuses réactions envoyées sur le mail du Bondy  Blog.


Depuis quelques temps, nous intervenons régulièrement sur les commentaires.


Nous vous rappelons que nous souhaitons laisser pour des raisons éditoriales et de liberté d’expression des commentaires instantanés et sans filtre mais cela nécessite le respect de certaines règles de votre part.


Les attaques personnelles, les commentaires insultants, racistes, homophobes…sont interdits et peuvent faire l’objet de condamnations  pénales  en direction de ceux qui les postent.


Les commentaires « règlements de compte », les listes de commentaires de deux ou trois mots, les discussions fermées et la multiplication des pseudos nuisent au dialogue.  Il serait dommage de changer  le mode de commentaire à cause de quelques personnes  qui ne respectent pas  le Bondy Blog et ses lecteurs.


Merci de votre compréhension.

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Très cher Bondy Blog,
Je t’écris aujourd’hui comme à un ami. C’est vrai, je t’ai vu naître il y a un an grâce à un article du Courrier International qui annonçait ton arrivée, et j’ai eu grand plaisir à lire les journalistes suisses qui se sont succédés semaine après semaine, chacun avec son style et sa sensibilité. Plus tard, j’ai vu les premiers pas des jeunes bondynois qui courageusement ont repris le flambeau, et qui t’ont vaillamment fait grandir. J’ai découvert une mosaïque de vécus, de croyances, d’affectivités, d’orientations politiques à travers les blogueurs mais également les commentateurs, et tout ce petit monde m’est devenu petit à petit familier,
voire sympathique. Je n’ai pas souvent échangé avec toi, je suis par nature
une personne qui écoute plus qu’elle ne parle, mais sache que je ne t’ai jamais quitté des yeux.
 
Cependant aujourd’hui, je suis triste, et tu sais sûrement pourquoi. Depuis quelques semaines, on t’a souillé, tes pages sont devenues un dépotoir criblé d’insultes, un champ de bataille aveugle, un émonctoire à toutes les haines. Je ne crois pas que ce soit de ta faute, mais comprend-moi si je te dis que j’ai moins de plaisir à venir te voir, car cette violence me fait
mal. J’espère vivement que tout celà s’apaise, et que nous retrouvions bien vite
un climat courtois et un dialogue respectueux.
Je te serre sur mon coeur, mon cher BB !

Whisky

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