La rencontre avec Sandra Haffner, chargée du développement économique à Bondy, s’est mal passée pour Kamel et Hakim, qui comptent ouvrir un « salon de thé à l’esprit jeune ». « On s’est pris claque sur claque, elle nous a fermé une porte après l’autre. Notre projet était trop jeune, il nous fallait un comptable et une étude de marché approfondie, un accord des banques et un local plus petit », raconte Hakim. Ils ne perdent cependant pas courage et décident de « se poser » et de monter un dossier béton.

Par Paul Ackermann

Paul Ackermann

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