Derniers articles
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L’excision, un tabou. Alors parlons-en
Près de 200 millions de femmes ont subi une mutilation sexuelle et 6 petites filles sont excisées par minute. L’association Excision, parlons-en, créée il y a 3 ans porte les récits et les parcours de ces femmes mutilées.
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« Il faut libérer la parole, libérer la République »
Dimanche 32 mars, après trois nuits debout, la place de la République est encore éveillée. Ses occupants rêvent d'une autre démocratie.
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Édouard Louis : « Il y a une urgence à parler de la violence »
Après en avoir fini avec Eddy Bellegueule, Edouard Louis signe à 23 ans son deuxième roman, "Histoire de la violence". Une oeuvre puissante, dans laquelle il déshabille la violence du bien-pensant ambiant. Entretien à haute valeur politique
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« S’il y a encore une taxe, même 1 %, je préfère vendre et rester toute ma vie au chômage »
Invitée du prochain Bondy Blog Café, Nathalie Kosciusko-Morizet, députée et Présidente du groupe Les Républicains au conseil de Paris avait proposé, en décembre dernier, de taxer le commerce halal pour financer les lieux de culte.
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On arrive à Sevran sans le vouloir, et on n'y reste pas
François Maspero constatait en 1990 que la ville de Seine-Saint-Denis était une ville de passage. Alice y est retournée et retrouve la même difficulté de vivre là sans penser à partir.
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Une colère qui doit penser demain
Chronique d’une mort lente, mais depuis longtemps annoncée, ou quand voter fout la nausée.
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Paris reprend des couleurs
Du bleu du blanc et une part un peu plus importante de rouge transperce la brume qui pèse sur Paris ce vendredi 27 novembre. Ce matin, Paris meurtrie s’est refait une beauté, en hommage aux victimes des attentats.
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Révoltes urbaines de 2005 : ma cité a craqué, rien n'a changé
La librairie Le Genre Urbain, rue de Belleville à Paris, recevait ce jeudi 24 septembre au soir la revue Mouvements (éditions La Découverte) à l’occasion de son dernier numéro : Ma cité a craqué, dix ans après les révoltes urbaines de 2005. On y était.
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Face à eux, ils étaient si peu
La manifestation de soutien aux réfugiés du quai d'Austerlitz vendredi dernier a peu rassemblé, celle du samedi 5 septembre, place de la République, était aussi bien loin des promesses de solidarité.