Derniers articles

  • « Nourriture, hygiène et sommeil : les trois fondamentaux de la rue »

    Orion, la quarantaine, dormait du côté du Marché aux fleurs, sur l'Île de la Cité quand Matthias l'a rencontré. Ensemble ils sont partis à la recherche d'un vieil ami.

    Par Matthias Raynal
    Le 08/02/2015
  • « J’ai prêté allégeance au califat »

    Le drapeau noir flotte aussi sur certains profils Facebook qui revendiquent leur proximité idéologique avec l'Etat islamique. Salim, rencontré via les réseaux sociaux raconte.

    Par Matthias Raynal
    Le 09/10/2014
  • Izïa Higelin : « Je mène la vie d’une femme de 30 ans alors que je n’en ai que 22 »

    Tu as commencé très tôt à faire de la musique, pour quelle raison ?   Le collège, c’était l’horreur. J’étais en mal-être scolaire. Dès que j’arrivais devant la grille, je me mettais à chialer. C’est mon premier vrai concert qui m’a décidé à arrêter l’école. A 15 ans, je me suis produite au Printemps de Bourges. Je me souviens, à l’époque je me suis dit : « Putain, c’est ce que je veux faire, ce que j’aime, c’est faire des concerts. »

    Par Matthias Raynal
    Le 06/07/2013
  • Elle est juive, il est goï : l’impossible amour

    A l’âge de 11 ans, je gagnais 50 francs à mon premier jeu de hasard. Quand j’étais petit, je finissais toujours premier au Mille Bornes. Inutile de préciser qu’au Monopoly j’inondais le plateau de jeu de mes hôtels. Tout cela ne présageait rien de bon pour ma future vie amoureuse, car comme dit l’adage : heureux au jeu, malheureux en amour. Si j’avais su ce qui m’attendait plus tard, j’aurais certainement réfléchi à deux fois avant d’accumuler les billets à la Bonne Paye et ma dernière relation se serait peut-être terminée différemment.

    Par Matthias Raynal
    Le 18/07/2011