Derniers articles
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La réforme Peillon sur l’éducation prioritaire fait grincer des dents
Ce jeudi 13 février à 14h00, la place Saint-Michel grouille de monde. Près de 1 500 personnes, professeurs, élèves et syndicats, sont au rendez-vous pour manifester. "Menteur, voleur", "Ta réforme, c'est nous qui la Peillon, voleur rends-nous nos heures." Ce jour là, le ton est donné. Professeurs et élèves sont révoltés. Ils scandent les slogans préparés en se dirigeant vers le ministère, rue de Grenelle.
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Dixième jour de détention pour Nadir Dendoune
Il est 17h00 à l’institut du Monde Arabe. Je me présente à l’entrée de la salle où doit se projeter le documentaire « Palestine », documentaire réalisé par Nadir Dendoune. 17h00, c’est l’heure à laquelle doit commencer la conférence de presse au sujet de l’arrestation du journaliste. A l’entrée, un membre du comité de soutien pour la […]
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ArcelorMittal : la marche de l’acier à Bobigny
Le 5 avril dernier, à Bobigny, s’achevait le parcours du combattant des vingt marcheurs de la société Arcelor Mittal. Partis le 28 mars de Florange, ils ont effectué près de 350 kilomètres à pied. La raison principale du mouvement est la fermeture de deux hauts fourneaux qui amènent la société à licencier une grande partie des salariés.
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Des auto-écoles sans issue
Fin 2011, près de 1 200 inspecteurs du permis de conduire sortaient dans les rues pour protester. Ils proposaient au gouvernement de revoir le barême des salaires qu’ils estimaient bas pour un métier avec tant de responsabilités.
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Eva Joly à la fac
Arrivée à l’amphithéâtre à 14 heures 30, c’est avec grande surprise que je découvre une salle quasiment vide. Le hasard a fait que nous étions réunis dans une salle aux tables vertes, couleur principale du parti.
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Apocalypse…later
Tout semble aller pour le mieux ici, ou du moins, rien ne perturbe la routine. Paris s’éveille, doucement mais sûrement. De ma fenêtre, je regarde la ville, si paisible à cette heure de la matinée. La lumière du jour n’a pas encore percé et l’hiver semble parer de son manteau de glace les passants que j’aperçois.